All work and no play makes Jack a dull boy.
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All work and no play makes Jack a dull boy.
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All work and no play makes Jack a dull boy.
Comme prevu, nous voici de retour a Samarcande. Sauf qu'on y est coinces pour plus longtemps que l'on pensait.
A la derniere minute, suite a un tuyau que m'a balance vendredi soir sur Gtalk un polonais croise sur un forum qui avait entendu parle a Samarcande d'un espagnol qui aurait obtenu son visa chinois grace a une agence de voyage situee pres de l'ambassade du Royaume-Uni a Tashkent, nous nous sommes rendus Samedi a la premiere heure a la dite agence afin laisser nos passeports et plein d'argent contre une promesse de visa pour la Chine. Et nous voila donc nus comme des vers a attendre a Samarcande que, en coulisse, entre l'agence et l'ambassade de Chine, des connections soient mises en jeu et des pates graissees, jusqu'a ce que, Vendredi prochain, nous puissions aller recuperer nos visas, inch'allah et enfin, (enfin !) quitter l'Ouzbekistan ou l'on a deja passe beaucoup trop de temps. Tout ceci afin de ne pas baser nos seuls espoirs sur l'ambassade de Bishkek, reputee de plus en plus intransigeante (sans meme parler de celle de Dushanbe).
A Samarcande, on a retrouve quelques bonnes vieilles tetes (Jean-Mich, des espagnols et des suisses a velo croises a Teheran et a Mashhad, et l'indetronable statue de Timur - Tamerlan - assis sur son rond-point). Une attente interminable commence, faite de longues apres-midis etendus sur des kurpachas a siroter du the et a echanger des blagues sur le Turkmenistan avec les autres voyageurs. Afin de rentabiliser ces journees de glandes j'essaye de potasser le guide de russe mais chaque nouveau chapitre avec ses declinaisons, ses accords et ses exceptions me donne envie de laisser tomber et de prier pour un futur proche dans lequel tout les peuples du monde parleraient anglais.
Les rues de Samarcande sont sens dessus-dessous depuis au moins deux semaines et la place du Registan est occupee par des repetitions d'un festival de musiques et de danses Asiatiques cense commence demain. Depuis hier, l'effervescence est a son comble et toutes les rues du centre font l'objet d'un petit lifting auquel semble participer toute la population, des mamies en robes aux soldats en treillis. Il faut dire qu'il parait que le president Karimov sera la alors pendant deux ou trois jours tout devra etre nickel. Comme le roi du Maroc, il faut qu'il continue a vivre dans l'illusion que toutes ses villes sont belles et propres et que tout le monde l'aime (tout comme les ouzbeks vivent dans l'illusion de faire partie d'un etat libre et democratique).
All work and no play makes Jack a dull boy.
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Comme prevu, nous voici de retour a Samarcande. Sauf qu'on y est coinces pour plus longtemps que l'on pensait.
A la derniere minute, suite a un tuyau que m'a balance vendredi soir sur Gtalk un polonais croise sur un forum qui avait entendu parle a Samarcande d'un espagnol qui aurait obtenu son visa chinois grace a une agence de voyage situee pres de l'ambassade du Royaume-Uni a Tashkent, nous nous sommes rendus Samedi a la premiere heure a la dite agence afin laisser nos passeports et plein d'argent contre une promesse de visa pour la Chine. Et nous voila donc nus comme des vers a attendre a Samarcande que, en coulisse, entre l'agence et l'ambassade de Chine, des connections soient mises en jeu et des pates graissees, jusqu'a ce que, Vendredi prochain, nous puissions aller recuperer nos visas, inch'allah et enfin, (enfin !) quitter l'Ouzbekistan ou l'on a deja passe beaucoup trop de temps. Tout ceci afin de ne pas baser nos seuls espoirs sur l'ambassade de Bishkek, reputee de plus en plus intransigeante (sans meme parler de celle de Dushanbe).
A Samarcande, on a retrouve quelques bonnes vieilles tetes (Jean-Mich, des espagnols et des suisses a velo croises a Teheran et a Mashhad, et l'indetronable statue de Timur - Tamerlan - assis sur son rond-point). Une attente interminable commence, faite de longues apres-midis etendus sur des kurpachas a siroter du the et a echanger des blagues sur le Turkmenistan avec les autres voyageurs. Afin de rentabiliser ces journees de glandes j'essaye de potasser le guide de russe mais chaque nouveau chapitre avec ses declinaisons, ses accords et ses exceptions me donne envie de laisser tomber et de prier pour un futur proche dans lequel tout les peuples du monde parleraient anglais.
Les rues de Samarcande sont sens dessus-dessous depuis au moins deux semaines et la place du Registan est occupee par des repetitions d'un festival de musiques et de danses Asiatiques cense commence demain. Depuis hier, l'effervescence est a son comble et toutes les rues du centre font l'objet d'un petit lifting auquel semble participer toute la population, des mamies en robes aux soldats en treillis. Il faut dire qu'il parait que le president Karimov sera la alors pendant deux ou trois jours tout devra etre nickel. Comme le roi du Maroc, il faut qu'il continue a vivre dans l'illusion que toutes ses villes sont belles et propres et que tout le monde l'aime (tout comme les ouzbeks vivent dans l'illusion de faire partie d'un etat libre et democratique).